Jean-Claude Juncker : « Avant de soupçonner DSK de la moindre traîtrise, [les membres du Parti socialiste] devraient se souvenir que le FMI n’est pas un organe qui dépend du gouvernement, dont la vocation serait de servir Nicolas Sarkozy. Ils devraient aussi savoir que le président n’a fait que sauter en marche dans un train mis sur les rails par Jean-Claude Juncker, Angela Merkel et Romano Prodi, les premiers à émettre l’hypothèse DSK pour diriger le FMI. Simplement, super Sarko l’a fait à sa façon, comme si l’idée venait de lui ».
(L’Est Républicain)
« Some Socialist politicians suspected that Mr Sarkozy was backing Mr Strauss-Kahn’s candidacy to marginalise a potentially dangerous opponent. However, others suggested Mr Strauss-Kahn might be even stronger placed to contest the presidency in 2012 if he made a success of the IMF job and Mr Sarkozy stumbled ».
(Le Financial Times)
(L’Est Républicain)
« Some Socialist politicians suspected that Mr Sarkozy was backing Mr Strauss-Kahn’s candidacy to marginalise a potentially dangerous opponent. However, others suggested Mr Strauss-Kahn might be even stronger placed to contest the presidency in 2012 if he made a success of the IMF job and Mr Sarkozy stumbled ».
(Le Financial Times)
3 commentaires:
FMI d'abord, Elysée ensuite!
oui oui oui !
Vas y DSK !!!
au FMI Dodo !!!
c'est vrai que ce départ pour le FMI, c'est à la fois une énorme opportunité pour lui et...le plus sûr moyen de disparaître de la scène politique française...
En même temps, on voit bien avec cette candidature, appuyée par les 27 de l'UE, combien le PS a du mal à promouvoir ses leaders les plus brillants.
Tant pis. Royal se rammassera en 2012, et une jeune génération de socialistes prendront le pouvoir en 2017 à l'issue d'une longue phase de travail et de modernisation.
Ce qui est sûr c'est que DSK au FMI, c'est pour lui l'assurance d'acquérir une vraie stature internationale. Est-ce qu'il pourra la mettre au service de son ambition élyséenne d'ici à 2012 ? Pourquoi pas mais cela suppose selon moi une candidature tardive (2011) en dehors du PS, autour d'une formation nouvelle de centre gauche.
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